Gratuité de la maternité : Benjamin Ngalo appelle les Congolais à se méfier des rumeurs

Gratuité de la maternité : Benjamin Ngalo appelle les Congolais à se méfier des rumeurs

La gratuité de la maternité reste en vigueur à Kinshasa et en province, contrairement à une rumeur qui circule sur la toile, affirmant que ce programme aurait été supprimé.

Face à cette désinformation, Benjamin Ngalo, entrepreneur et PDG de la société d’assurance santé, estime que ces rumeurs proviennent de personnes qui ne comprennent pas la vision du président de la République, Félix Tshisekedi Tshilombo, lorsqu’il a lancé la gratuité de la maternité.

« La vision du président est de permettre à chaque Congolais d’accéder facilement aux soins hospitaliers. Il a instauré la gratuité de la maternité en raison de l’existence préalable d’un programme de couverture santé universelle. Le chef de l’État, Félix Tshisekedi, ne peut pas tout accomplir seul. C’est pourquoi, en tant qu’entrepreneurs, nous devons soutenir cette noble vision à travers notre société d’assurance santé. Ainsi, la population kinoise et celle de l’intérieur du pays peuvent bénéficier de soins de qualité dans les différents hôpitaux partenaires. La gratuité de la maternité est déjà en place à Lubumbashi, où je me trouve. Affirmer que la gratuité de la maternité devrait être suspendue relève de la mauvaise foi», a-t-il déclaré.

Par ailleurs, Benjamin Ngalo encourage les Congolais à faire confiance à sa structure :

« Nous invitons nos compatriotes à nous faire confiance plutôt que de recourir à des étrangers. Notre objectif est de lutter contre l’automédication, qui cause la mort de nombreux Congolais, et d’assurer une prise en charge efficace des soins médicaux. Nous avons mis en place des tarifs abordables pour permettre à chacun de se faire soigner sans complications : 10 $ pour un homme célibataire et 35 $ pour une famille, le tout payable en franc congolais», a-t-il ajouté.

Il est important de rappeler que la société d’assurance santé collabore avec plusieurs hôpitaux à Kinshasa ainsi qu’à Lubumbashi.

Rémy Mbuyi.

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