RDC: DES ARRESTATIONS À LA PRISON CENTRAL DE MAKALA APRES DES ENQUÊTES MENÉES PAR LE MINISTRE D’ÉTAT, MINISTRE DE LA JUSTICE ET GARDE DES SCEAUX, Constant MUTAMBA

RDC: DES ARRESTATIONS À LA PRISON CENTRAL DE MAKALA APRES DES ENQUÊTES MENÉES PAR LE MINISTRE D’ÉTAT, MINISTRE DE LA JUSTICE ET GARDE DES SCEAUX, Constant MUTAMBA

plusieurs arrestations ce jeudi à la prison centrale de MAKALA. Après les révélations sur l’origine de ce coup, le Ministre d’État, ministre de la Justice et Garde des Sceaux a ordonné l’arrestation du directeur de ce centre pénitentiaire (CPRK), les agents de la Snel, le gouverneur-général de la prison, les gouverneurs de certains pavillons, les agents de l’administration pénitentiaire et certains personnels extérieurs.

Signalons que le directeur de la prison centrale de makala est suspendu de ses fonctions et un mandat d’arrestation est lancé contre l’ancien directeur du CPRK.

Noter également que des enquêtes se poursuivent pour arrêtés les commanditaires de cet acte ignoble.

Le Minetat de la Justice et Garde des Sceaux Me. Constant MUTAMBA, qui a personnellement mené ses enquêtes depuis son atterrissage hier mercredi 4 août à l’aéroport de N’djili avec le numéro de la DEMIAP, a ordonné l’ouverture des audiences en flagrance par le Tribunal militaire de garnison de Kinshasa/Ngaliema, qui siège en audience foraine.

Ce procès contre des détenus qui ont tenté de s’évader de ce centre pénitentiaire la nuit du dimanche 1 août à lundi 2 août 2024 dernier, va se poursuivre ce vendredi à 9 H. Les détenu qui sont jugés en procédure de flagrance, sont notamment accusés d’incendie volontaire, des actes des terreurs, des cruautés et ils ont incendié le bâtiment administratif de la prison, cassés des portes, mais aussi et surtout violés des dames dans une cruauté inhumaine.

Pour la partie défenderesse, le procès doit avoir lieu et en flagrance parce que les faits sont constants. D’après Me Michel MAFTAA, avocat au barreau de Kinshasa/ Matete, ce procès ne doit suivre son cours normale et non se tenir avec précipitation. Au moins, une trentaine des prévenus seront devant le tribunal militaire de garnison de Kinshasa/Ngaliema.

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